Des mesures citoyennes dans les zones non couvertes

L’association régionale agréée de surveillance de la qualité de l’air (Atmo Hauts-de-France) dispose de 53 stations pour six millions d’habitants. Leurs mesures doivent donc être extrapolées aux zones non couvertes, par des calculs numériques. D’où l’intérêt de les compléter par les mesures de volontaires équipés de capteurs de particules portables, qui permettent de couvrir aussi les transports et les lieux confinés, comme les domiciles. C'est un des objectifs du projet Apolline développé par des laboratoires de l’université.

apolline.science